Beaucoup pensent qu’après 70 ans, il est « trop tard » pour alléger les droits de succession. C’est faux. Même passé cet âge, plusieurs dispositifs, notamment l’assurance-vie, permettent encore de réduire la fiscalité transmise à ses proches.
Les règles changent, mais des opportunités existent toujours : abattement spécifique, intérêts transmis hors droits de succession, liberté dans la désignation des bénéficiaires, ou encore stratégies complémentaires comme les donations ou le démembrement. Comprendre le fonctionnement de l’assurance-vie est important pour utiliser correctement ces leviers.
L’essentiel est donc de comprendre comment utiliser intelligemment ces leviers pour optimiser sa transmission, même tard dans la vie.
Les essentiels à retenir :
- Il n’est pas trop tard après 70 ans : l’assurance-vie reste un outil fiscalement avantageux pour transmettre un capital dans de bonnes conditions.
- L’abattement de 30 500 € s’applique à toutes les primes versées après 70 ans, quel que soit le nombre de bénéficiaires, et permet déjà une première transmission exonérée.
- Tous les intérêts et plus-values générés après 70 ans sont transmis hors droits de succession, sans limite de montant. C’est LE levier le plus puissant pour optimiser la succession tardive.
- Le choix du contrat est déterminant : des frais bas, un fonds euros performant et une gestion adaptée (libre ou pilotée) maximisent les gains exonérés transmis aux bénéficiaires.
- Louve Infinity est adapté à cet objectif : frais réduits, arbitrages gratuits, fonds euros performant, large choix de supports (UC, SCPI), clause bénéficiaire flexible.
- Les investissements immobiliers via SCPI en assurance-vie renforcent la transmission, grâce à une croissance potentielle supplémentaire… également exonérée.
Après 70 ans, beaucoup d’épargnants pensent que l’assurance-vie perd son intérêt fiscal. En réalité, elle conserve des atouts puissants pour réduire les droits de succession. Le fonctionnement change, mais la logique patrimoniale reste extrêmement favorable.
L’essentiel à retenir est simple :
- les primes versées après 70 ans bénéficient d’un abattement global de 30 500 €, partagé entre tous les bénéficiaires ;
- tous les intérêts, plus-values et capitalisation du contrat restent transmis hors droits de succession, quel que soit leur montant ;
- la clause bénéficiaire continue d’offrir une transmission directe, sans passage par la succession, avec rapidité et souplesse.
En pratique, cela signifie qu’un contrat ouvert ou alimenté après 70 ans peut encore créer beaucoup de valeur transmissible. Même un versement modeste permet de générer des intérêts qui, eux, seront intégralement exonérés pour les bénéficiaires. C’est précisément ce point — souvent ignoré — qui fait de l’assurance-vie un outil encore pertinent pour optimiser la succession, même tardivement.
Les règles fiscales de l’assurance-vie varient selon l’âge auquel les versements sont effectués. Voici un tableau synthétique pour mieux comprendre les différences.
Tableau récapitulatif : assurance-vie avant / après 70 ans
Retenez donc que :
- Avant 70 ans : avantage fiscal maximal, idéal pour transmettre de gros capitaux.
- Après 70 ans : les intérêts restent intégralement exonérés, ce qui redonne de l’intérêt aux versements tardifs.
- Dans les deux cas, la clause bénéficiaire permet une transmission directe, rapide et souple.
Même après 70 ans, la qualité du contrat choisi joue un rôle déterminant dans la transmission. Des frais faibles, une architecture moderne et un fonds euros performant permettent de maximiser la part d’intérêts transmis hors droits de succession.
C’est précisément là que Louve Infinity tire son intérêt pour les seniors qui souhaitent optimiser leur succession.
Investir en assurance-vie comporte des risques et doit s’envisager sur le long terme. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et les objectifs de rendement sont non garantis.
Pourquoi le choix du contrat compte encore après 70 ans ?
Les versements réalisés après 70 ans bénéficient d’un avantage unique :
tous les intérêts générés sont transmis hors droits de succession.
Cela signifie que :
- plus les frais du contrat sont bas,
- plus le rendement est élevé,
- plus le capital transmis net est important.
Même des versements tardifs peuvent donc produire une épargne exonérée, à condition d’être logés dans un contrat efficace.
Les points forts de Louve Infinity pour une transmission après 70 ans
Voici les caractéristiques clés qui permettent à Louve Infinity d’optimiser la transmission des intérêts :
→ Des frais parmi les plus bas du marché
Moins de frais = plus de rendement conservé.
- 0 % de frais de versement
- 0 % de frais d’arbitrage
- 0,39 % de frais de gestion sur unités de compte
Ces niveaux très bas permettent au capital de croître plus rapidement, ce qui augmente mécaniquement la part exonérée transmise aux bénéficiaires.
→ Un fonds euros qui se démarque
Le contrat propose un fonds euros performant, ce qui renforce l’intérêt des versements après 70 ans.
- 4,55 % de rendement net moyen sur les dernières années disponibles
Un rendement élevé = plus d’intérêts capitalisés = plus de transmission hors droits.
→ Gestion libre ou pilotée selon le profil d’investisseur
Louve Infinity laisse le choix entre :
- une gestion libre, pour les investisseurs à l’aise avec les marchés et la répartition de leurs supports ;
- une gestion pilotée, pour ceux qui préfèrent déléguer les arbitrages à des professionnels, en fonction d’un profil de risque.
Ce double mode de gestion permet d’adapter le contrat à la situation et à l’appétence au risque de chaque épargnant, y compris après 70 ans.
→ Une architecture moderne et flexible
Louve Infinity permet :
- d’accéder à un univers d’investissement diversifié,
- de piloter ou ajuster son allocation sans frais,
- de désigner librement ses bénéficiaires.
Synthèse : pourquoi Louve Infinity maximise l’effet successorale après 70 ans
Investir en assurance-vie comporte des risques et doit s’envisager sur le long terme. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et les objectifs de rendement sont non garantis.
Beaucoup de personnes connaissent l’abattement de 152 500 € avant 70 ans, mais ignorent qu’un abattement spécifique de 30 500 € s’applique aux versements réalisés après cet âge. Certes plus limité, il reste un levier efficace lorsqu’il est utilisé de manière stratégique.
Cet abattement fonctionne différemment :
- il est global, et non pas par bénéficiaire ;
- il s’applique uniquement aux primes versées après 70 ans ;
- au-delà, les primes excédentaires sont soumises aux droits de succession classiques ;
- en revanche, tous les intérêts et plus-values générés par le contrat sont totalement exonérés, ce qui en fait un levier intéressant, même tard dans la vie.
Comment optimiser l’abattement de 30 500 € ?
Pour tirer le meilleur parti de cet abattement, la stratégie consiste avant tout à structurer les versements et la transmission de manière cohérente.
La première étape est souvent de réaliser un versement unique de 30 500 €, afin d’utiliser pleinement l’exonération disponible. Les versements supplémentaires ne bénéficieront plus de cet abattement, mais ils généreront malgré tout des intérêts qui, eux, resteront totalement exonérés pour les bénéficiaires : c’est là que l’assurance-vie conserve tout son intérêt après 70 ans.
Il est également important de soigner la rédaction de la clause bénéficiaire. Même si l’abattement est global, il peut être réparti librement entre les bénéficiaires (enfants, conjoint, petits-enfants ou tiers). Une clause précise et actualisée garantit que la répartition souhaitée sera bien respectée. Louve Infinity s'occupe de rédiger votre clause mais vous pouvez également la rédiger si vous le souhaitez en sélectionnant "clause libre".
Enfin, certains épargnants choisissent d’ouvrir plusieurs contrats. Cela ne multiplie pas les abattements, mais cela facilite la gestion successorale : chaque bénéficiaire peut se voir attribuer un contrat distinct, ce qui simplifie les démarches et évite certains partages complexes. Couplé à un contrat d’assurance-vie performant (frais bas, rendement solide, allocation adaptée), ce levier permet d’augmenter la part d’intérêts exonérés transmise hors succession.
Exemple simple d’utilisation optimisée
Prenons le cas d’une personne de 72 ans qui souhaite limiter les droits de succession pour ses enfants. Elle décide de verser 30 500 € sur un contrat d’assurance-vie moderne et performant.
Ce montant correspond exactement à l’abattement disponible pour les versements réalisés après 70 ans.
Imaginons maintenant que ce contrat génère un rendement annuel moyen de 4 % sur dix ans.
Grâce à la capitalisation des intérêts, l’épargne atteint environ 44 500 € au terme de la période :
- 30 500 € de primes,
- environ 14 000 € d’intérêts cumulés.
La fiscalité successorale appliquée à ce capital est très avantageuse :
- Les 30 500 € sont totalement exonérés grâce à l’abattement spécifique applicable après 70 ans.
- Les 14 000 € d’intérêts le sont également, car tous les produits du contrat (intérêts et plus-values) restent hors droits de succession, sans plafond.
Ainsi, les bénéficiaires reçoivent 44 500 € net de fiscalité, même si le versement initial a été effectué après 70 ans.
L’exemple montre bien qu’un investissement tardif peut encore produire un effet successorale puissant, à condition :
- d’utiliser pleinement l’abattement de 30 500 €,
- et de choisir un contrat capable de générer suffisamment d’intérêts pour maximiser la part exonérée.
Ce mécanisme est souvent sous-estimé : ce ne sont pas seulement les primes qui comptent, mais leur capacité à produire des intérêts… intérêts qui, eux, seront toujours transmis hors succession.
Investir en assurance-vie comporte des risques et doit s’envisager sur le long terme. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et les objectifs de rendement sont non garantis.
C’est l’un des aspects les plus avantageux de l’assurance-vie après 70 ans, mais aussi l’un des moins connus : tous les intérêts, gains et plus-values générés par le contrat sont transmis aux bénéficiaires sans aucun droit de succession, quel que soit leur montant.
En pratique, cela signifie que les versements effectués après 70 ans servent avant tout de base de capitalisation. Le capital versé est intégré dans la succession au-delà de l’abattement de 30 500 €, mais la croissance du contrat, elle, échappe totalement à l’impôt successoral. Plus le contrat performe, plus l’avantage est significatif.
Pourquoi c’est un levier puissant pour les seniors ?
Après 70 ans, l’objectif n’est plus de chercher l’abattement maximal — ce rôle appartient aux versements effectués avant 70 ans — mais de générer une épargne qui produira des intérêts exonérés. Cela transforme l’assurance-vie en un outil de transmission encore très efficace, même tard dans la vie.
Ainsi :
- un contrat performant augmente la part d’intérêts hors succession ;
- des frais faibles maximisent la capitalisation ;
- une allocation adaptée permet de sécuriser ou dynamiser l’épargne selon le profil de risque.
Même un versement modeste peut donc produire plusieurs milliers d’euros totalement exonérés pour les bénéficiaires.
Illustration simple
Un versement tardif de 20 000 €, placé sur un contrat performant à 4 % en moyenne, peut générer environ 9 600 € d’intérêts en douze ans.
Résultat :
- le capital initial est soumis aux règles successorales classiques,
- mais les 9 600 € d’intérêts sont intégralement transmis hors droits.
Cet effet « boule de neige », souvent ignoré, explique pourquoi l’assurance-vie reste pertinente même après 70 ans : ce ne sont pas seulement les versements qui comptent, mais leur capacité à produire une épargne protégée fiscalement.
Si l’assurance-vie reste un outil incontournable après 70 ans, d’autres leviers peuvent compléter la stratégie de transmission. L’objectif est d’utiliser plusieurs dispositifs cohérents entre eux pour réduire la fiscalité globale et faciliter la répartition du patrimoine.
Les donations : encore pertinentes même tardivement
Contrairement à une idée reçue, il est tout à fait possible — et parfois très pertinent — d’effectuer des donations après 70 ans. Elles ne profiteront plus des abattements spécifiques liés à l’âge dans certains dispositifs (comme le don familial de 31 865 € réservé aux moins de 80 ans), mais elles restent soumises à l’abattement classique de 100 000 € par enfant tous les 15 ans.
Cela permet :
- de sortir une partie du patrimoine de la future succession,
- de réduire mécaniquement la base taxable,
- d’aider ses enfants ou petits-enfants de son vivant.
Par exemple, une personne de 75 ans peut donner 100 000 € à chacun de ses enfants sans droits, dès lors que l’abattement n’a pas déjà été utilisé dans les 15 dernières années.
Le démembrement de propriété : une stratégie toujours efficace
Même après 70 ans, il est possible de transmettre un bien immobilier ou des parts sociales en nue-propriété, tout en conservant l’usufruit.
Avantages :
- la valeur taxable de la nue-propriété est réduite, car elle dépend de l’âge du donateur ;
- le parent conserve l’usage du bien ou les revenus (loyers, dividendes) ;
- à son décès, l’usufruit s’éteint automatiquement et les héritiers récupèrent la pleine propriété sans fiscalité supplémentaire.
Ce mécanisme reste l’un des plus puissants pour préparer la transmission de biens immobiliers ou de parts de SCI.
Investir en SCPI via l’assurance-vie
Pour les seniors qui souhaitent percevoir des revenus tout en préparant leur succession, les SCPI logées dans une assurance-vie sont une option intéressante. Louve Infinity propose à la fois un fonds euros performant, des unités de compte variées et des supports immobiliers comme les SCPI, permettant d’adapter l’allocation selon le profil et les objectifs du souscripteur.
Elles permettent :
- de profiter de la fiscalité successorale avantageuse de l’assurance-vie ;
- de transmettre la valeur des parts (et la croissance associée) dans un cadre optimisé ;
- d’adapter l’allocation entre fonds euros, SCPI et unités de compte selon le niveau de risque souhaité.
Les loyers perçus dans le contrat contribuent eux aussi à générer des intérêts ou plus-values… qui seront transmis hors droits de succession.
Ouvrir plusieurs contrats pour structurer la transmission
Même si cela ne multiplie pas les abattements fiscaux, disposer de plusieurs contrats présente plusieurs avantages :
- répartition plus lisible entre bénéficiaires (un contrat dédié par bénéficiaire, par exemple) ;
- souplesse pour ajuster les clauses sans impacter l’ensemble du patrimoine ;
- sécurité en diversifiant les assureurs lorsque les montants sont importants.
Cette approche améliore également la gestion successorale pour les héritiers, qui reçoivent directement les sommes qui leur reviennent, sans arbitrage complexe.
Les règles successorales après 70 ans peuvent sembler techniques, mais leur application est souvent très simple dans la réalité. Voici trois exemples concrets qui illustrent comment optimiser sa transmission, même tard dans la vie.
Investir en assurance-vie comporte des risques et doit s’envisager sur le long terme. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et les objectifs de rendement sont non garantis.
Cas n°1 : Utiliser l’assurance-vie pour transmettre des intérêts exonérés
Situation :
Marc, 72 ans, souhaite transmettre un capital à ses deux enfants en limitant les droits de succession.
Il verse 30 500 € sur un contrat d’assurance-vie performant.
Évolution de l’épargne :
Avec un rendement moyen de 4 % sur dix ans, le contrat atteint environ 44 500 €, dont 14 000 € d’intérêts.
Fiscalité à la transmission :
- Les 30 500 € de primes sont entièrement couverts par l’abattement applicable après 70 ans.
- Les 14 000 € d’intérêts sont totalement exonérés, car considérés comme des produits du contrat.
Résultat :
Les enfants reçoivent 44 500 € net de droits, grâce à une stratégie très simple utilisant l’abattement et la capitalisation.
Cas n°2 : Combiner assurance-vie et donations pour réduire l’assiette taxable
Situation :
Claire, 75 ans, possède un patrimoine financier de 350 000 € et deux enfants. Elle souhaite alléger leur fiscalité future.
Stratégie mise en place :
- Elle réalise une donation de 100 000 € à chacun de ses enfants, en utilisant l’abattement de 100 000 € disponible tous les 15 ans.
- Elle conserve le reste de son épargne et verse 30 500 € sur son assurance-vie, pour capitaliser des intérêts exonérés.
Bénéfices cumulés :
- La donation sort immédiatement 200 000 € de sa future succession.
- Les versements après 70 ans capitalisent des intérêts transmis hors droits.
- Les bénéficiaires de l’assurance-vie recevront les capitaux plus rapidement et sans frais de notaire.
Résultat :
Claire réduit fortement la base taxable, répartit intelligemment ses outils de transmission et conserve une épargne disponible.
Cas n°3 : Préparer la succession avec des SCPI logées en assurance-vie
Situation :
Paul, 74 ans, souhaite transmettre une partie de son patrimoine immobilier sans gérer directement un bien locatif. Il veut aussi simplifier la transmission pour ses héritiers.
Stratégie :
- Il verse 20 000 € sur son contrat Louve Infinity et alloue une partie de l’investissement à des SCPI logées dans le contrat.
- Le contrat propose un fonds euros, des UC variées et des supports immobiliers permettant d’ajuster son allocation sans frais d’arbitrage.
Effets successoraux :
- Les loyers perçus dans le contrat viennent s’ajouter à la performance globale et génèrent des intérêts transmis hors droits.
- Au décès, ses héritiers reçoivent directement la valeur du contrat, sans passage par la succession.
- L’immobilier est transmis de façon simplifiée et optimisée fiscalement, sans indivision ni gestion locative.
Résultat :
Paul transmet un capital immobilier indirect, avec la simplicité administrative de l’assurance-vie et l’exonération des intérêts.
Investir en assurance-vie comporte des risques et doit s’envisager sur le long terme. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et les objectifs de rendement sont non garantis.
Même après 70 ans, l’assurance-vie et les outils patrimoniaux restent très efficaces… à condition d’éviter certaines erreurs courantes. Voici les cinq pièges qui nuisent le plus à l’optimisation successorale.
Penser qu’il est “trop tard” pour utiliser l’assurance-vie
C’est l’erreur la plus répandue.
Beaucoup de seniors renoncent à verser après 70 ans, pensant que les avantages fiscaux sont perdus. En réalité :
- l’abattement de 30 500 € existe toujours ;
- et surtout, tous les intérêts et plus-values générés par le contrat restent transmis hors droits de succession, sans plafond.
Même un versement tardif peut donc produire plusieurs milliers d’euros totalement exonérés.
Ne rien faire est souvent plus coûteux que d’agir.
Choisir un contrat coûteux ou peu performant
Après 70 ans, ce ne sont plus les abattements qui créent le gain fiscal… mais la performance.
Un contrat avec :
- des frais de gestion élevés,
- des arbitrages payants,
- ou un fonds euros peu performant,
…réduira drastiquement la part d’intérêts transmis hors droits de succession.
À l’inverse, un contrat moderne comme Louve Infinity — frais bas, arbitrages gratuits, fonds euros performant, gestion libre ou pilotée — maximise la capitalisation et donc l’avantage fiscal.
Verser les montants sans stratégie ou trop tardivement
Beaucoup de personnes effectuent un versement important après 70 ans… sans réfléchir à son impact.
Conséquences possibles :
- une partie importante du capital est réintégrée dans la succession,
- l’effet capitalisation des intérêts est réduit,
- la transmission perd en efficacité.
La bonne approche :
- utiliser pleinement l’abattement de 30 500 €,
- laisser le contrat générer des intérêts exonérés,
- ajuster l’allocation selon son profil (libre ou piloté).
Même un versement modeste, bien placé, peut produire un gain fiscal significatif.
Oublier qu’il existe d’autres leviers que l’assurance-vie
L’assurance-vie est centrale, mais elle n’est pas le seul outil efficace après 70 ans.
Ne pas diversifier peut entraîner une fiscalité plus élevée que nécessaire.
Les autres leviers pertinents :
- donations (abattement de 100 000 € par enfant tous les 15 ans),
- démembrement de propriété,
- investissements immobiliers ou SCPI via assurance-vie,
- multiplication des contrats pour structurer la transmission.
Une stratégie globale permet de réduire considérablement les droits de succession… même passé 70 ans.
Passé 70 ans, il reste tout à fait possible d’alléger les droits de succession et d’organiser une transmission efficace. L’assurance-vie continue d’offrir des avantages significatifs, notamment grâce à l’exonération totale des intérêts et à la souplesse de la clause bénéficiaire. En choisissant un contrat performant, en structurant ses versements et en combinant d’autres leviers patrimoniaux (donations, démembrement, SCPI), chacun peut optimiser sa succession, même tardivement. L’essentiel est de comprendre les règles et d’utiliser les bons outils pour protéger au mieux ses proches.








